En conformité avec les principes de médecine basée sur les preuves, communiquer les risques cliniques aux patients et à leurs proches est un préambule essentiel au consentement et à la prise de décision éclairée. La communication des risques cliniques peut s’effectuer pendant et après les consultations, verbalement ou par écrit, en s’appuyant sur les dernières données scientifiques disponibles. De nombreuses études démontrent que la population est confrontée à différents degrés d’innumérisme, soit des difficultés plus ou moins importantes dans la maîtrise des chiffres. Il est ainsi impératif de communiquer les risques de façon adaptée aux numératie et littératie en santé variables des patients. Cet article présente une synthèse des travaux internationaux sur la communication des risques, ainsi que des recommandations pour la pratique clinique.
La faiblesse fonctionnelle des membres a un pronostic incertain et peu de probabilité de guérir. Les personnes souffrant d’obésité en situation de précarité peuvent réussir à perdre du poids par un programme intensif de perte pondérale soutenu par des changements du style de vie. Chez les patients atteints de gonarthrose, la physiothérapie peut diminuer la douleur et l’incapacité lorsqu’elle est comparée à des corticostéroïdes injectés. Les patients qui souffrent d’un syndrome de dépendance à l’alcool peuvent réduire leur consommation avec des consultations de courte durée effectuées par des médecins généralistes. La fatigue et la dyspnée sont deux des symptômes parmi les plus fréquents qui peuvent perdurer après la phase aiguë de l’infection par SARS-CoV-2. L’analyse de détection du SARS-CoV-2 par PCR pourrait être effectuée avec le même degré de sensibilité sur un prélèvement nasopharyngé ou salivaire.
Les défis sanitaires exceptionnels générés par la pandémie de Covid-19 ont donné lieu à une vague de mobilisation parmi les étudiant·e·s en médecine. Nous avons été quatre étudiant·e·s à apporter notre soutien aux Unités de soins aux migrants du Département Vulnérabilités et médecine sociale d’Unisanté.
La psychothérapie diminue les rechutes de dépression lors de la réduction ou de l’arrêt des antidépresseurs. En cas d’infection respiratoire communautaire, l’antibiothérapie retardée est efficace et sûre. La réadaptation physique après une décompensation cardiaque aiguë est utile chez les patients fragiles. Un sommeil de 6 heures semble être associé à un risque plus élevé de démence chez les personnes de 50 à 70 ans. Les patients modifient le recours aux soins de santé après la cessation d’activité de leur médecin référent. La recherche de fibrillation auriculaire chez les patients de 65 ans ou plus en bonne santé n’est pas bénéfique. Les compétences médicales de lecture d’ECG diminuent en l’absence de formation régulière. Les patients hospitalisés pour un Covid-19 sont souvent impactés aux niveaux clinique, psychologique et économique.
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