Les premières victimes du transhumanisme
Jean-Marie Le MénéNous sommes entrés dans une période de marchandisation du vivant et une nouvelle étape va encore être franchie. Dans l’histoire, c’est un événement sans précédent. Aujourd’hui, la quasi-totalité d’une population, éliminée sur le critère de son génome imparfait, a disparu.
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Les premières victimes du transhumanisme
Les premières victimes du transhumanisme
Résumé du livre - Les premières victimes du transhumanisme
Nous sommes entrés dans une période de marchandisation du vivant et une nouvelle étape va encore être franchie. Dans l’histoire, c’est un événement sans précédent. Aujourd’hui, la quasi-totalité d’une population, éliminée sur le critère de son génome imparfait, a disparu.
L’extinction de cette partie de l’humanité est le fait d’un eugénisme efficace vendu par des marchands, acheté par l’État et mis en oeuvre par la médecine. Une redoutable machine à trier les humains arrive de la Silicon Valley sur le marché européen. Elle est précédée d’une clinquante caravane commerciale.
De guerre lasse, j’étais prêt à entendre ceux qui me conseillaient de déposer les armes. Le faire aurait été une capitulation.
Jean-Marie Le Méné est le principal adversaire de l’eugénisme en France. La fondation Jérôme Lejeune qu’il a créée et qu’il préside depuis vingt ans accueille en consultation les rescapés de ce « racisme chromosomique » et finance la recherche pour les guérir.