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ISO 690 | Kanagaratnam, S., Gouveia, A., Prise en charge des patients en ambulatoire : le niveau de formation fait-il une différence ?, Rev Med Suisse, 2025/914 (Vol.21), p. 830–830. DOI: 10.53738/REVMED.2025.21.914.830 URL: https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2025/revue-medicale-suisse-914/prise-en-charge-des-patients-en-ambulatoire-le-niveau-de-formation-fait-il-une-difference |
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MLA | Kanagaratnam, S., et al. Prise en charge des patients en ambulatoire : le niveau de formation fait-il une différence ?, Rev Med Suisse, Vol. 21, no. 914, 2025, pp. 830–830. |
APA | Kanagaratnam, S., Gouveia, A. (2025), Prise en charge des patients en ambulatoire : le niveau de formation fait-il une différence ?, Rev Med Suisse, 21, no. 914, 830–830. https://doi.org/10.53738/REVMED.2025.21.914.830 |
NLM | Kanagaratnam, S., et al.Prise en charge des patients en ambulatoire : le niveau de formation fait-il une différence ?. Rev Med Suisse. 2025; 21 (914): 830–830. |
DOI | https://doi.org/10.53738/REVMED.2025.21.914.830 |
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La formation postgraduée en médecine interne générale en Suisse impose une durée minimale de six mois en pratique ambulatoire. Cette rotation peut être effectuée aux urgences, en cabinet médical ou en policlinique. Cela soulève des interrogations sur le réel impact de cette formation en médecine ambulatoire durant la spécialisation, notamment pour le temps qui serait considéré comme nécessaire à l’acquisition des connaissances et compétences spécifiques à l’exercice de la médecine interne générale au cabinet. L’étude de cohorte rétrospective monocentrique de Graham et coll. a examiné si le statut de médecin en formation (médecin assistant) entraînerait une conséquence sur certains indicateurs de qualité de la prise en charge ambulatoire, en comparaison aux médecins titulaires (chefs de clinique, médecins agréés ou cadres). L’étude a porté sur une cohorte de 38 404 patients suivis par 110 médecins en formation et 60 médecins titulaires dans un centre académique de soins de premier recours aux États-Unis. L’analyse a été réalisée en ajustant les résultats pour les facteurs socioéconomiques et les caractéristiques des patients (âge, précarité, allophonie, comorbidités) à l’aide d’un modèle de régression logistique.
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