L’analyse des résultats des études récentes ou en préparation (circulant sous forme de manuscrits) montre des résultats décevant de l’hydroxychloroquine avec des taux de mises en soins intensifs ou de mortalité assez semblables avec ou sans hydroxychloroquine.
Les Dr Knock de la finance, auxquels nous devons à la fois le crack lié aux « subprimes » et la purge qui s’en est suivie (et dont nous avons collectivement mis tant d’années à en éponger les méfaits), nous expliquent désormais doctement que nous pourrions bénéficier d’une nouvelle aumône qu’il faudra toutefois rembourser selon les mêmes modalités. Comme c’est à priori plus grave, on est cette fois parti pour 20 ans !
Michel Matter est bien occupé depuis la pandémie du COVID-19. En tant que président de l’AMGe, vice-président de la FMH et conseiller national Vert’libéral, il œuvre simultanément sur plusieurs fronts.
Moins de quatre mois après son émergence, on peinerait à recenser de manière exhaustive la somme des essais cliniques thérapeutiques mis en œuvre contre le Covid-19. Quelques-uns suscitent de réels espoirs, peuvent surprendre, ou doivent être suspendus. Trois exemples.
Les soins palliatifs, l’attention à la qualité de la fin de la vie ont permis aux personnes âgées et aux malades, le plus souvent, de mourir entourés par leurs proches ou, à défaut, par des soignants attentifs. Mais la question pourrait se poser différemment aux soins intensifs. Le Covid-19 a changé la donne.
La sélection pour tester les patients fait suite à des symptômes respiratoires aigus ((toux dyspnée et fièvre). Cette stratégie prend en compte la présentation symptomatique typique, mais identifie imparfaitement les manifestations inhabituelles, telles que les patients sans symptômes respiratoires ou seulement des symptômes très légers. Une étude de modélisation largement citée a conclu que jusqu'à 86% des cas auraient pu être manqués en Chine, et les rapports de patients présentant des symptômes inhabituels augmentent dans le monde entier.
Cette étude passe en revue les différents traitements en cours d’évaluation dans de nombreux essais cliniques.
Deux papiers convergent vers la même conclusion, au fond pas surprenante : la pollution atmosphérique est un facteur de risque d’évolution sévère et de mortalité pour COVID-19.
La pandémie de SARS-CoV-2/COVID-19 semble prendre tout le monde par surprise. Tout nous semblait si lointain lorsque nous regardions grandir les points rouges des cartes épidémiologiques chinoises. La réalité nous a rattrapés lorsque l’Italie du Nord, notre voisine a été touchée. La vague initialement silencieuse déferle maintenant sur la Suisse, l’Europe et l’Amérique sans respecter les frontières. Fragilité de nos prédictions.
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