Ordonnance 2 COVID-19 : pas de fermeture obligatoire des cabinets
L’ordre est donné en ce 16 mars 2020 : il est interdit aux cabinets médicaux de réaliser des examens, des traitements et des thérapies non urgents. Comment peut-on prendre une pareille décision ? La non-urgence est définie comme ce qui peut être différé sans préjudice autre que mineur. Parce qu’on le sait d’avance ? La vraie urgence est rare dans la pratique ambulatoire parce qu’on s’emploie justement à éviter qu’elle advienne. Faut-il continuer à consulter clandestinement ? Sommes-nous punissables si l’on continue à faire ce qui est de notre devoir ?